Dès lors que vous souhaitez faire vos propres semis de légumes bio dans votre jardin, à chaque stade de croissance, vos plantes ont des besoins particuliers et certains plants nécessitent un repiquage intermédiaire. Cette étape consiste à transplanter une jeune pousse ou jeune plantule dans un pot ou godet plus grand, utilisant du terreau adapté, afin de favoriser son développement dans un conteneur adéquat jusqu’au moment de la plantation dans votre potager. Les semis en alvéole, en terrine, en caissette ou autres contenants de base « petits » qui offrent juste assez d’espace pour la germination, la culture des racines et le développement des premières feuilles devront être repiqués à un certain moment dans des godets (par exemple), généralement au stade 4 feuilles ou 2 feuilles « vraies ». Cette opération peut être assez délicate à réaliser … De ce fait, en amont, il peut être intéressant de choisir la bonne méthode pour faire vos semis en utilisant des semences de qualité car, certaines d’entre elles peuvent vous permettre d’amener les plantules du semis jusqu’au moment de la plantation sans avoir recours à cette pratique du repiquage. Simplement en ajoutant du terreau au fur et à mesure de la croissance de vos plants dans des pots en plastique ou en tourbe… Voyons comment ensemble comment faire concrètement …
Comment réussir un repiquage intermédiaire
Lorsque j’ai débuté, j’avais tendance à semer en poquet afin d’augmenter mes chances de germination. Cela consiste à semer plusieurs graines dans un même bac ou pot. L’inconvénient de cette méthode de semis est qu’une fois sorti de terre, il faut repiquer les plants en trop si tout a germiné (ce qui peut être considéré comme une forme de gaspillage de semences). Cependant, le poquet peut aussi être vu comme une façon de choisir par la suite, le plant le plus beau et qui vous semble le plus vigoureux. Avec le temps, et dès lors que je me suis tourné vers les systèmes alvéolés ou en caissette, le poquet devient inutile car, les alvéoles sont justement conçues pour placer une seule graine par conteneur. Rien n’empêche ensuite de faire une première sélection des plus belles plantes en ne repiquant pas tout dans des godets adaptés.
Sélectionner les plus beaux plants
Sur ce point, et à chaque étape de croissance de mes plants de tomates, d’aubergines, de poivrons et de piments, ainsi que de fleurs et de légumes, je sélectionne de manière à ce qu’au moment de la plantation, je me retrouve uniquement avec les plants les plus vigoureux et résistants. C’est un peu comme une chaîne de test, un contrôle qualité au fil du temps, ce qui évite bien des problèmes par la suite, une fois planté dans le jardin. Personnellement, à ce stade du repiquage, je supprime environ 10 à 15 % des plants qui ne me semblent pas au top pour la suite, optimisant ainsi la culture de mes plantations.
Les étapes d’un repiquage
- Une fois votre sélection de plants réalisée, prenez un godet ou un pot en plastique et placez un fond de terreau de qualité dans ce dernier (environ 1 à 2 centimètres)
- L’opération délicate est ensuite de prélever la jeune pousse avec sa motte de terreau (sans la casser et sans pincer la tige) pour la placer au fond du godet ou conteneur
- Reste à ajouter du substrat jusqu’à 1 cm voire 1,5 cm en dessous des premières pousse qu’on nomme les cotylédons, assurant ainsi une bonne culture des racines
- Tassez légèrement afin d’éviter les espaces vides et arrosez sans mouiller le feuillage ou la tige à l’intérieur du pot
Précisions importantes sur les gestes à adopter
Lorsque vous prélevez la plantule avec sa motte de terreau mais aussi tout au long du repiquage, il est primordial de ne surtout pas abimer, pincer ou casser la tige principale afin de ne pas couper la circulation de la sève brute et de la sève élaborée qui commencent déjà à remplir leurs fonctions pour « nourrir » la jeune plante. Ensuite, lors de l’arrosage et à partir du moment où les feuilles commencent à apparaître, il est préférable de ne pas arroser le feuillage afin d’éviter le développement de la maladie cryptogamique dès le plus jeune âge de la fleur concernée. D’ailleurs à partir de ce stade de croissance, personnellement, j’arrose uniquement par capillarité dans mes pots et godets ce qui, entre guillemets, force le développement du système racinaire qui sera alors habitué à aller chercher en profondeur le sol et les éléments dont la plante a besoin. C’est-à-dire, l’eau et les divers minéraux nécessaires à la culture de chaque végétal.
Choisir le bon terreau et le contenant
Pour un repiquage réussi, il est important d’utiliser un terreau de qualité, spécialement conçu pour les semis et repiquages. Ce terreau doit être bien équilibré en matière organique et ne pas être trop riche pour éviter les brûlures des jeunes plants. Concernant le choix du contenant, les godets en plastique ou en tourbe peuvent être utilisés, bien que certaines racines aient du mal à traverser la tourbe. Il est également possible d’opter pour des pots réutilisables ou des caissettes en plastique pour une culture optimale.
L’importance de l’acclimatation
Au-delà de la technique de repiquage, il est essentiel d’acclimater progressivement vos plantules aux conditions extérieures. Cette phase d’adaptation, qui dure généralement une semaine avant leur sortie définitive, permet de réduire le stress de la transplantation et d’améliorer les chances de réussite.
Les types de repiquage
En fonction de la plante, la profondeur de repiquage peut varier. Pour la plupart des plantes, il convient de les enterrer jusqu’à la base des premières feuilles. Pour les légumes aux racines sensibles au pourrissement, optez pour un repiquage superficiel, alors que certaines plantes comme les tomates bénéficient d’un repiquage plus profond.
Quelles plantes sont concernées par le repiquage intermédiaire ?
Pour conclure cet article de blog, il y a énormément de plantes qui peuvent être concernées par cette transplantation intermédiaire, dont les tomates, les aubergines, les poivrons, les piments, ainsi que les fleurs et autres légumes. En bref, toutes ces plantes qui ont besoin, entre le moment du semis et celui de la plantation, d’être transplantées une première fois dans des conteneurs plus grands et adaptés avant la plantation finale dans le jardin. Lors d’une plantation au potager, on parle également de repiquage de plants en pleine terre, cela concerne toutes les plantes qui ne sont pas semées directement en place mais en godet, en terrine, en caissette ou en pépinière, etc. Par ailleurs, la livraison de semences de qualité et l’utilisation d’outils appropriés facilitent grandement le processus de plantation. En espérant que tout ceci vous sera utile, n’hésitez pas laisser un commentaire ci-dessous pour partager votre expérience …
FAQ
Quand faut-il repiquer les tomates en godet ?
Il faut repiquer les tomates en godet lorsque les plantules ont développé deux à trois vraies feuilles en plus des cotylédons. Cela se produit généralement deux à trois semaines après le semis en terrine ou en caissette.
Quand repiquer les choux en godet ?
Repiquez les choux en godet lorsque les plants ont 3 à 5 feuilles vraies, en plus des cotylédons. Cette étape est essentielle pour renforcer les jeunes plants avant leur plantation définitive en pleine terre, spécialement après que les risques de gelée soient écartés, généralement à partir de mai.
Quand repiquer des semis en godet ?
Il faut repiquer les semis de tomates en godet lorsque les deux premières feuilles vraies (cotylédons exclus) commencent à apparaître. Cela se produit généralement deux à trois semaines après le semis en terrine. Cette étape permet à la plantule de se développer en indépendance des réserves de la graine.
Quand repiquer les tomates avec la Lune en 2024 ?
Pour repiquer les tomates avec la Lune en 2024, il est recommandé de le faire pendant la lune descendante. Les meilleures dates pour repiquer sont en mai, spécifiquement les 15, 16, et 17 avant 17h, ainsi que le 25 mai.
Superbe démonstration.
Génial les vidéos pour apprendre les bons gestes.
Merci mille fois.
Bonjour
Je te conseille un terreau moyennement voir pas du tout enrichi en engrais, sinon c’est le sur engraissage et tes plantes ne vont pas aimer.
Regarde la proportion NPK je crois ou le mieux est de demander a un professionnel en jardinerie, ou aller dans un « growshop » (culture interieure /exterieure).
ils ont du terreau light mix voir pas engraisse du tout.
Cordialement.
Jcervantes
Quel choix de terreau ? Faut-il incorporer un peu de fumier bien décomposé ?
merci
bonjour à tous et à toutes je viens donner une petite astuce que j ai mis en pratique car j’ ai fait l essai il y a quelques semaines de ça . au moment de l eclaircissage des carottes je me suis dit que c etait dommage de jeter les plants eclaircis même au compostage!!! donc j’ai repiqué ces plants de carottes et?????????? et bien tous les plants on bien pris donc pas de gaspillage j en ai fait de même avec les navets et beteraves mais juste un e petite info les carottes sont un tout petit peu biscornues!!!! mais qui a decidé que les carottes devaient etre bien droite???? certainement pas mère nature !!!! bonne journée et bon jardinage
Bonjour Marierose,
Bien joué !! Je te remercie pour le partage de l’astuce qui est très intéressant, effectivement, au lieu de jeter, autant essayer de les repiquer, tu as tout à fait raison !! et puis, tant pis pour la forme, tant que le gout est là 🙂
A très bientôt
Yannick
Bonjour,
Article et vidéo très intéressante !
J’ai aussi eu des problèmes effectivement avec mes pots de tourbe.
J’ai aussi voulu faire quelque chose « d’écolo » et mes plants ont vraiment souffert.
Bonjour Jennifer,
Je suis partie exactement dans la même optique avec ces pots, mais c’est pas le top, d’ailleurs on m’avait prévenu ! Le gros problème est qu’ils absorbent l’eau au détriment des plantes, ce qui m’a fait perdre quelques plants au final, mais bon vite récupérer avec les autres tournées de semis 🙂
Merci à toi et à très bientôt
Yannick
Bonjour Sylvain, bonjour Gilles,
C’est de ma faute 🙂 Sorry !! Le temps d’approuver les commentaires et voilà.
En tout cas, je vous remercie tout deux pour vos commentaires très intéressants sur les moyens de stresser les plantes.
A très bientôt
Yannick
Qu’est ce que tu ne ferais pas pour créer le buzz sur ton blog !!!
On a failli se fâcher là…
Allez, je te pardonne.
Amitiés,
Gilles
Bonsoir Gilles,
Lol !! 🙂 Oui, lorsque j’ai vu ça, j’ai directement pris quelques minutes pour approuver les commentaires en attentes.
Bon ça va si tu me pardonne 🙂
Amicalement
Yannick
Oui! oui! sacré filou ce Yannick ,alors tout était calculé dit donc lol; bonne journée a vous !
je t envoie bientôt des photos de mes semis comme promis!bonne semaine a toi!
Bonjour Sylvain,
Super je les attends avec impatience 😉
A très bientôt
Yannick
Bonjour Yannick,
Une très belle animation !!! Juste, de mon côté, un problème de son; je t’entends très mal… Ceci dit, concernant les semis et le repiquage, je profite ici au Québec d’une petite invention très géniale et très écologique : ce sont de petits pots en paille de coco ou quelque chose comme ça, qu’il n’est pas nécessaire de repiquer puisqu’on peut mettre ce petit pot en pleine terre : il est biodégradable…
Tu sais que je sème peu, mais quand je sème, j’utilise ce système très pratique.
Merci pour les conseils et à bientôt !
Salut yannick,ben perso le repiquage je le fait aussi comme il a déjà était dit dans certain com ,au vrai 2 premières feuilles,car les deux première sont les cotillons,et a ce stade l enracinement et vraiment très faible,et très fragile et difficile de a la manipulation. par contre,plutôt que de faire une sélection a sec, ce qui fait perdre quelques plants, j ai opté pour un repiquage par 2,3 plants(pourquoi)parce-qu’ il est pas sur que le plants le plus vigoureux, le restera « ou vivra »au fil de la croissance. »déjà expérimenté » « petit astuce d’ici 15jours après repiquage ne pas oublie de stresser les plants primordiale pour favoriser l enracinement!au plaisir!
Bonjour Sylvain,
Qu’appelle-tu stresser les plants ? Si tu peux me décrire ta méthode, cela m’intéresse.
Merci à toi et à bientôt
Yannick
salut yannick,ben écoute stresser les plants de tomates, c est les privée d eau pendant une période de 15jours environ,pourquoi? parce que que un plants dont on prive d alimentation en eau va obligatoirement pas instinct de survis se débrouillé pour aller en chercher, et son seule moyen et de développer son enracinement,donc bénéfique pour nous amateur de jardinage. un plan trés bien enraciné produira 50 % de plus de fructification.a ne pas confondre avec le « stress hydrique » d un plant de tomates causé par une alternance de périodes sèches et humides.il est de même pour les géranium, les stressé pendant 15 jours provoquera aussi un esprit de survis, le pied se voyant mourir par manque d eau aura systématiquement le réflexe de produire des fleures ,car une fois la fleures tombé, elle sèche et disperse ses graine et c est reparti pour cycle. vous comprendrais maintenant pourquoi vous voyer de superbe bouquets de géranium sur certain balcon pour ceux qui connaisse l astuce,et pas comme on pourrais croire un surdosage d engrais, et d’autre avec simplement quelques fleures!au plaisir bon week.
En effet,
et quand un plant subit un stress, il va également chercher à se reproduire au plus vite (toujours dans cette idée de survie). La reproduction passant par la floraison, un stress maîtrisé entraîne une floraison plus abondante, et donc également plus de fruits…
Trop cajolé les plants de légumes à fruits n’est pas une bonne chose…
c est exactement ce que je dit!lol
Pas vraiment…tu ne parles pas de reproduction , et c’est pourtant là l’essentiel de ton idée !
Amicalement
,Bonjour à tous,
« car les deux première sont les cotillons » !! Cotylédons Sylvain…mais c’est sans doute ton clavier qui a fourché ?
Je pense que par « stresser les plants », Sylvain veut dire de les laisser un peu sans arrosage…mais j’aimerais aussi avoir son explication…
Personnellement, je sème en terrine et repique donc au stade des premières feuilles vraies. Je me permets donc un petit lien vers ma méthode de repiquage, très différente de celle-ci. Chacun pourra ainsi choisir la technique qui lui convient le mieux : http://www.un-jardin-bio.com/la-culture-des-tomates/
Cordialement,
Gilles
euh moi je pensais que en écrivant privée d alimentation en eau ca voulais dire » laisser sans arrosage »mdr c est peut etre pas une nécessité de répéter a chaque fois mes explication.aucun intérêt je pense mais bon si ça vous enchante lol!!!
Regarde la date !
oui gille j ai posté le 22 et toi le 23 donc aprés, bon pas bien grave tout ça,au plaisir.
gille j ai vue sur ton blog un lien vers une collectionneuse de variété ancienne, sophie « ptit grenouille »une de mes connaissance la connait tu aussi?
En effet…mais ton commentaire ne paraissait pas lorsque j’ai posté le mien…sinon, je n’aurais pas écrit ça…bon, peu importe.
Je ne connais Petite Grenouille que par le web, et depuis peu,
Bonne journée,
Gilles
Bonjour Bernadette,
Ca semble pas mal du tout ta petite astuce. Ici, nous avons bien les godets biodégradables, cependant, j’ai été moyennement satisfait car il buvait l’eau que j’apportais au détriment de ma plante : en bref, pas top !! EN tout cas, je ne connaissais pas ce système, peut être est-ce plus efficace !
Un grand merci à toi et à très bientôt
Yannick
Bonjour Yannick,
Super ta vidéo ! Tu as l’air vraiment très à l’aise maintenant avec la cam !
Merci pour tes conseils qui tombent à pic comme tu dis ! Je dois justement repiquer mon petit olivier qui a difficilement réussi à passer l’hiver.
Est-ce que tu aurais un conseil particulier pour le genre de terreau que je dois utiliser ? Je croyais que l’olivier ne « buvait » pas trop mais je me rends compte qu’il faut quand même bien l’arroser. C’est peut-être juste parce qu’il est encore très jeune…
Enfin, si quelqu’un a des conseils, je suis preneuse 🙂
Merci encore Yannick et bonne semaine 😉
Bonjour Nathalie,
Je te remercie pour les compliments 🙂
Pour essayer de répondre à ta question, cela dépends de ta région car dans les régions un peu plus froide, il est préférable de le laisser en bac afin de pouvoir le rentrer au chaud pendant l »hiver. Si tu vis dans le sud, tu va pouvoir le mettre en pleine terre. Personnellement, je pense que tu peux faire un mélange entre le terreau et de la terre du jardin voir un peu de sable ou de gravier. Pour ce qui est du terreau, je ne sais que te conseiller : OYE OYE, SI QUELQU’UN A LA REPONSE 🙂
A très bientôt et merci encore
Yannick
Merci pour ta réponse. Je vis en Auvergne.On peut avoir des hivers très rudes et des étés caniculaires ! J’ai déjà eu un jeune olivier et il est mort alors je ne veux pas refaire les mêmes erreurs, je n’aime pas perdre des arbres !
Je le mettrai en bac cette année et je vais surveiller tes commentaires pour le substrat. 🙂
Bonne journée !
Re bonjour Nathalie,
Je pense effectivement qu’il est préférable de le mettre en bac, pour pouvoir le rentrer au chaud. Il est vrai qu’en Auvergne les hivers sont rudes, perso, j’opterai pour cette solution car même avec un voile d’hivernage, les oliviers sont fragiles.
A bientôt 🙂
Yannick
Bonjour Yannick,
J’admire tes cours de jardinage et je dis, mais pourquoi je n’arrive pas à trouver un bout de terre pour mettre en pratique. En fait je ne me donne pas le temps. J’ai des priorités qui font que, je remets à plus tard
et je me contente d’acheter des légumes bio…
tu fais un beau travail
Belle journée.
Charlotte
Bonjour Charlotte,
Je te remercie, cela me fait très plaisir. JE vois que déjà cela te donne envie de te mettre au jardin alors, c’est déjà une première étape : peut être dans les années à venir, non ?
Merci encore et à très bientôt
Yannick
Bonjour Yannick,
Tu as décidé de donner des cours de gaspillage!!!!!!
Bien sûr je blague (et en plus je n’ai pas su comment rajouter un smiley).
Ma technique est différente car je pense toujours aux économies.
J’ai acheté il y a de nombreuses années des alvéoles. C’est cher mais leur durée de vie semble éternelle.
Je sème seulement une graine par alvéole.
Pour ceux qui produisent leurs propres graines (en quantité) il n’y a pas de problèmes; par contre dans le commerce je trouve que les graines sont horriblement chères, à mon avis il ne faut pas les gaspiller.
Dans le même esprit de « radinerie » as tu une solution économique pour acheter tes godets?
Bon week-end
Jenny
Bonjour jenny, les godets tu en trouvera en grand nombre au service technique « fleurissement » de tout les grand villages,il te les donnerons avec plaisir, sinon tout et jeter,tu pourra même choisir les diamètres que tu veux, donc!
Bonjour Jenny,
Lol, non pas encore !! Mais, je trouve que pour commencer la méthode poquet est assez simple et permets de se faire la main, il est vrai que j’ai vu les alvéoles dont tu nous parle, mais, c’est un peu comme tout : on s’équipe au fur et à mesure, peut être bientôt 😉
Pour ce qui est d’acheter des godets, je crois que Sylvain vient de te donner une solution a explorer.
A très bientôt et merci àtoi
Yannick
super cette vidéo. En image c’est tellement plus facile à comprendre.
D’ailleurs oui, je confirme. J’ai perdu tous les petits plan que j’avais fais prendre dans les pots en tourbe. Oui, le pot a bu l’eau séchant la terre et la jeune pousse. Alors, pour les prochain semis, j’utiliserais bien l’astuce du papier journal. Tu nous ferais pas une séquence sur le pliage des fois?
Merci pour tes conseils et à bientôt pour une autre vidéo
🙂
Bonjour Sarah-jane,
Effectivement, je pense que le support vidéo est bien plus sympa, même humainement, de cette manière, je ne suis pas caché derrière mon clavier 🙂
Pour ce qui est du pliage : oups j’ai oublié de mettre le lien vers la vidéo explicative : le voici : http://www.conseils-coaching-jardinage.fr/2013/02/pots-en-papier-comment-les-faire/
sinon, c’est moi qui te remercie 😉
A très bientôt
Yannick
Salut Yannick,
Pour ma part, pour éviter le repiquage je sème en godets un peu profonds puis je fais un resurfacage (pour ceux que ça intéresse je me permet de glisser un lien : http://tousaupotager.fr/le-resurfaage-des-semis-dintrieur-en-godets/). Je trouve que le repiquage a tendance à ralentir le développement des plants. Mais certains préconisent le repiquage qui améliorerait le système racinaire des plants alors je ne sais plus trop quoi penser…
Sinon, je voudrais juste préciser quelque chose pour le journal. Il faut faire attention d’utiliser du journal avec de l’encre non colorée car cette dernière contient divers toxiques. A bannir donc 🙂
En tout cas, encore une belle vidéo, fais gaffe on va bientôt te proposer d’animer le 20h !
A bientôt,
Romain.
Bonjour Romain,
Effectivement, il semblerait que cette méthode permette de développer les racines des plants, à croire qu’il n’y a pas vraiment de règles dans le jardinage. Cependant, ta méthode est excellente elle évite vraiment les manipulations. Tu fais bien d’ajouter ces précisions sur le journal, mais même sans encre de couleurs j’ai préféré les retirer, je trouve cela très bien pour recycler ses vieux papiers journaux, le reste sert à faire partir le feux 🙂
Et merci pour le 20 h, lol !!
A très bientôt
Yannick
Ma methode a moi est un peu differente de la tienne, quand je fais mon repiquage, j’attend que mes semis on fait quatre feuilles. Je trouve que les plants sont plus fort et moins maladif. Mais comme on dit, chaque jardinier a sa methode et ca ne fait pas de mal a en apprendre d’autre.
Bravo a ton blog qui donne beaucoup d’idees.
Ellada.
Bonjour Ellada,
Oui, je connais plusieurs jardiniers qui font également comme toi, cependant, comme tu le dis toi-même et je me pose de plus en plus la question : Y a-t-il des règles dans le jardinage ? J’aime aussi beaucoup apprendre de nouvelles méthodes.
Un grand merci à toi et à bientôt
Yannick