Le pourpier (Portulaca Oleracea) est une plante comestible de la famille des Portulacacées. Il s’agit d’une plante très ancienne souvent considérée, à tord comme une « mauvaise herbe » car, il s’agit non seulement d’une plante sauvage spontanée et d’une plante potagère qui, jusqu’au milieu du 19ième siècle faisait partie de l’alimentation des Français. Riche en antioxydants, oméga 3, oligo-éléments et diverses vitamines, les feuilles et les tiges peuvent être consommées en salade mais aussi en soupe, sauce, quiches etc … Cette herbacée est très intéressante à faire pousser car, elle est mellifère et prisée des oiseaux avec une floraison tout l’été jusqu’à l’automne. Il existe plusieurs espèces de pourpier dont « Le vert » et « Le doré à larges feuilles » principalement cultivé pour leurs comestibilités. Cependant, le pourpier ornemental est plutôt décoratif pouvant entrer dans la composition d’un massif de fleur par exemple. D’assez petite taille (Une trentaine de centimètre de hauteur), voyons ensemble comment cultiver du pourpier dans votre potager …
Culture du pourpier au potager
Avant d’aller plus loin, le pourpier poussant naturellement et de manière assez dense dans votre jardin peut être considéré comme une plante bio-indicatrice du sol qui peut être le signe d’un sol trop tassé, compacte avec une mauvaise rétention de l’eau. Cependant, il peut être cultivé en pleine terre mais aussi en bac et jardinière si vous faites du jardinage sur balcon. Au potager, le pourpier n’est pas très exigeant au niveau du sol car, il ne demande pas de fertilisation spécifique, il s’adapte très facilement, il faudra simplement choisir un emplacement correctement ensoleillé. C’est également une plante qui s’associe parfaitement à d’autres végétaux. Pour un gain de place, vous pouvez en semer entre les cultures plus hautes tels que les tomates, les aubergines etc … De plus, vous pouvez dans un esprit de permaculture laisser monter quelques pieds monter en graine qui vont alors se ressemer spontanément d’une année sur l’autre. Ce qui vous offrira de potentielles récoltes sans que vous n’ayez besoin d’intervenir.
Faire un semis de pourpier
Vous avez deux possibilités : Soit directement à l’emplacement final (ce qui est le plus simple) ou alors faire les semis au préalable dans des godets pour un repiquage en pleine terre par la suite. Cette seconde solution peut être intéressante pour retarder le temps d’occupation du terrain de la plante, afin d’utiliser cette espace pour une autre culture avant de faire suivre vos pieds de pourpier. Mais aussi, si vous souhaitez dispatcher vos plants de pourpier dans le potager. Voyons comment faire un semis de pourpier en pleine terre …
- Après avoir préparé le sol en l’aérant légèrement à laide d’une fourche-bêche ou d’une grelinette, semez vos graines sur des lignes espacées d’une trentaine de centimètre entre elles (Il est possible de placer d’autres cultures entre ces rangs)
- Recouvrez d’une fine couche de terreau qui vous permettra de garder en mémoire l’emplacement de votre semis, tassez légèrement avec le dos du râteau et arrosez sans excès pour activer la germination.
- Une fois que votre pourpier atteint le stade 4-5 feuilles, il vous faudra simplement éclaircir pour ne conserver qu’un plant tous les 25 centimètres environ. Petit ajout personnel sur ce point : Je n’ai encore jamais essayé mais, il est probablement possible de repiquer les jeunes pousses retirées à d’autres endroits dans le potager.
Pour un semis de pourpier en godet : vous pouvez opter pour le poquet qui consiste à semer 2-3 graines dans un même contenant. Arrivé au stade 4-5 feuilles, conservez seulement le plant qui vous semble le plus beau et vigoureux qu’il vous suffira de planter à l’emplacement de votre choix.
Quand faire le semis ?
Comme toujours cela dépend de votre région. Le pourpier étant sensible aux potentielles gelées, dans le sud de la France avec un climat plutôt méditerranéen, vous devriez pouvoir commencer votre semis dans le courant du mois d’avril. Pour les autres climats et régions, il sera préférable d’attendre la mi-mai au potager. Cette culture peut également être échelonnée tous les 1 mois 1/2 pour des récoltes régulières et ceci jusqu’au mois d’août.
Les entretiens à apporter
Le pourpier est une plante potagère simple de culture, durant le processus de germination, il faudra simplement conserver le support humide mais une fois sortie de terre et les plants correctement développés, il n’est plus forcément nécessaire de faire des apports en eau car, cette plante a la particularité d’être résistante à la chaleur et éventuelle sécheresse. Cependant, pensez à retirer les herbes folles qui pourraient se développer autour afin d’éviter la concurrence entre les plantes, ajoutez du paillage pour les bienfaits que cela apporte à la terre mais aussi pour limiter le développement des adventices.
Multiplier le pourpier : Comme je l’écrivais plus haut, le pourpier peut se ressemer de lui-même en le laissant monter en graine. Cependant, vous pouvez également récupérer et conserver les semences (en septembre – octobre) pour les resemer l’année suivante ou reproduire votre variété de pourpier.
Récolter le pourpier
Il faut compter environ 2 mois après le semis pour commencer à récolter les feuilles et tiges. Il est préférable de récolter les jeunes feuilles au fur et à mesure de vos besoins, ces dernières seront alors plus tendres et bien meilleures gustativement. Lors de la récolte, je vous suggère de ne pas couper trop à ras du sol afin de favoriser la croissance de nouvelles pousses mais aussi pensez à échelonner vos semis pour des récoltes régulières et continuent.
Un mot sur les ravageurs du pourpier : Normalement, aucune maladie ne s’installe sur cette plante ou alors pas à ma connaissance. Vous pouvez éventuellement être confronté à la présence de limaces sur les jeunes pousses encore tendres mais une fois les pieds développés, les limaces ne s’y intéressent plus tellement.
Pour conclure …
Comme vous pouvez le lire, le pourpier est une plante intéressante à plusieurs niveaux. Tout d’abord, elle est comestible, simple à entretenir, parfaitement adaptée à nos conditions de cultures, il est possible de la combiner à d’autres cultures plus hautes mais aussi, elle favorise la venu d’une certaine faune, elle est peu sensible aux ravageurs et maladies potagères. La question finale : Est-ce que vous cultivez du pourpier dans votre jardin-potager en permaculture ?
Bonjour,
Moi, j’ai du pourpier qui pousse tout seul, et dont j’ai même du mal à me débarrasser.
Je ne sais pas si c’est le même ? par contre, je ne l’ai jamais vu en fleur.
Ce ne serait donc pas forcément une variété comestible.
Je conseille quand même à ceux qui voudraient en faire la culture de faire attention, car c’est très envahissant.
J’ai du poirpier que je chouchoute dans mes carres potagers c’est une bonne plante compagne des solenacees pour justement ombrer leurs pids et c’est delicieux seul rissole a la poele ou melange a d’autres legumes surtoutquand de surcroit il est une des plantes les plus chargees en omega 3 indispensable pour notre sante et le renouvellement de nos cellules, les populations Ui s’en nourissent ont un vieillissement plus harmonieuse.les omega 3, je le soulignent sont remarquables pour le renouvellement des cellules de nos cartilages et nous permet d’avoir un 3e age et meme un quatrieme age de nos corps moins sujet a toutes ces douleurs de carence osseuse qui nous atteignent en ne nous nourissant pas bien et en evacuant peu les toxines qui nous encombrent , a ce propos je recommande les ouvrages du medecin naturopate Christopher Vasey dont la methode tres simple a appliquer uniquement a partir des tisanes ou teintures de plantes specifique pour leurs actions a chacune ponctuelles sur les emonctoires de notre corps permettant de enfin pouvoir evacuer les graisses de retention momentanement stockees par l’acttion du Foie pour les empecher de s’attaquer aux organes vitaux et qui a terme se mettent a deborder quand meme provoquant routes ces differentes maladies qui attaquent selon les erreurs alimentaires et habitudes ausdi de vie le Coeur, les Reins, les poumons, la rate et le pancreas a partir petit a petit de 40 ans et quelque fois moins.
Les plantes detoxicantes sont donc a apprivoiser avec bonheur dans tout potager par les jardinier pour le bien de toute leur famille en meme temps qu’ils eradiqueront tous les pesticides toxiques audsi pour eux pour les remplacer par les plantes repulsives propres a chasue espece animale ou meme l’action de tuer ponctuellement les nuisible mecaniquement ou a la main (gantee) en laissant leurs cadavres sur place, effet garanti car en renoflant les cadavres de leur espece ils s’ecartent instinctivement de ces lieux trop dangereux pour eux.pour les fourmis par exemple qui peuvent avoir des velleites d’entre dans la maison , je les tue sur leur file indienne, arretant net leur progression en amont, et on a la paix pour l’été.
Pour les moustiques cultiver du geranium citron devant les ouvertures de fenetre , et de la citronelle de madagascar pour la prendre en tiqane journellement afin de transpirer son odeur: effet contre les attaUes de moustique garanti.on peut aussi incorpore ctee herbacee (son coeur croquant est vendu dans les rayons de frais asiatiques.une grande partie des dites mauvaises herbes de nos jardins est a apprivoiser en compagnonage de nos propres plantes.
En ce moment, mes yeux se delectent des petits buissons de la fraiche chelidoine qu’on appelait jadis du nom merite d’herbes aux cerrues, elle n’a pas seulement par son suc la propriete de petit a petit les eradiquer elle a ausdi en humidifiant un doigt avec son suc d’en masser le milieu heut des paupieres en faisant surtout tres attention de ne pas en laisser les yeux ou en laisser imprudemment couler du suc dans ceux-ci, (le suc brule attention) en revanche la peu n’en retire aucun dommage et le petit massage localise peut retarder considerablement et tres longtemps une cataracte naissante; je m’eclaicis ainsi les yeux deux fois par semaine, et j’ai mixe la plante puis l’ai melangee a du beurre de coco puis mise au congelateur pour en avoir le reste de l’annee, jusqu’a la prochaine recolte.
J’espere que j’ai pu convaincre les jardiniers qui me lisent d’etre un peu moins raides avec toutes ces plantes sauvvages de la pharmacie du Bon Dieu, meme celles qu’il ne faut qurtout pas toucher ou ingerer se trouvent etre a dose infinitesimale de potentiels remedes mais ce n’est pas notre metir de faire les recherches a ce propos , laissons cela aux biologistes serieux qui ont la formation chimique et biologique ainsi que les appareils de plus en plus sophistiques pour travailler sur les chaines moleculaires de toute la Creation Divine et ont recu de notre createur le talent qu’ils ont fructifie pour servir leur prochain par La comprehension de plus affinee des oeuvres de Dieu.